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"Maladies" et évolution

Notre vie : notre chemin

Si l'on y pense, notre existence entière est problématisée à l'envers par les différentes croyances qui nourrissent notre conditionnement.

La première de ces croyances, et celle qui donne le ton à toutes les autres, est sans aucun doute la suivante : "nous sommes nés avec l'arrivée de notre corps sur la Terre, et nous allons mourrir avec sa disparition".

Convenons-en, dès lors que la fin de notre passage sur Terre est présentée comme une rupture de notre trajectoire, et non comme faisant partie intégrante de cette trajectoire, tout ce que nous faisons avant le moment ultime est, soit réalisé sans conscience aucune de notre devenir, soit comme arraché au soi-disant néant inéluctable...

Pourtant, notre existence est tout sauf un combat ; c'est une aventure, un voyage, un cheminement de plus en plus conscient vers une expérience de plus en plus libre de nous-mêmes, de notre place dans l'univers et des logiques naturelles qui président à tout cela, y compris à l'éternelle continuité de la vie.

Nos maladies : les portes de notre renouveau

Il en va de même pour les maladies et pour toutes les difficultés qui ponctuent notre existence.

Dans le sens commun, les maladies sont des dérèglements, des agressions du corps ou de l'esprit et il s'agit, soit, en prévention, de s'en protéger au maximum, soit, en urgence, de les combattre pour désamorcer leurs logiques et leur activité au plus vite.

Or, toutes nos difficultés, y compris nos problèmes de santé, sont seulement les portes de notre renouveau : par la souffrance qu'elles manifestent, elles signalent en effet que le système qui, jusque là, présidait à notre fonctionnement intérieur et extérieur, est périmé et nous proposent/imposent de le renouveler, ce qui permettra notre guérison.

Chronologie d'une vie annoncée

Souvenez-vous (voir l'article "Nos mémoires"), nous sommes des êtres composés d'une "âme" (notre énergie originelle, de haute intensité vibratoire) et d'un corps, constitué des mémoires dont nous héritons de nos deux parents.

Ces mémoires construisent notre conditionnement et agissent au quotidien comme des filtres entre notre énergie naturelle et l'expérience que nous en avons, la première se retrouvant tamisée, rognée, limitée et parfois complètement dénaturée, pour donner la seconde.

C'est ainsi que notre expérience de nous-mêmes est limitée dès notre naissance par toutes ces mémoires embarquées. Plus précisément, nous perdons l'expérience de l'amour inconditionnel, notre énergie originelle, et nous partons dans la vie avec un manque inexplicable planté au fond de nous, que nous allons essayer de combler comme nous le pouvons, afin de nous sentir de nouveau aimés, "complets", à notre place.

C'est l'activation progressive de ces mémoires (du fait de l'augmentation du niveau vibratoire général, voir aussi l'article "Nos mémoires") qui dessinera la chronologie des évènements intérieurs et extérieurs de l'ensemble de notre existence.

Tant que nous ne souffrons pas, c'est que que l'ensemble de ces mémoires coexistent dans un système qui nous satisfait et dans lequel nous nous reconnaissons.

Lorsque nous nous mettons  à souffrir, psychologiquement ou physiquement, cela signifie que nous commençons à faire l'expérience d'une partie de ces mémoires pour ce qu'elles sont réellement : de la souffrance.

En d'autres termes, cela signifie qu'une partie de nous est devenue suffisamment différente du système dans lequel nous étions adaptés pour le vivre tel qu'il est et en souffrir : la difficulté, la maladie, ne sont donc pas les signes d'un problème, ou d'une régression, mais bien d'une ouverture qui cherche à se réaliser en nous.

Qui suis-je ?

C'est l'activation progressive de ces mémoires (du fait de l'augmentation du niveau vibratoire général, voir aussi l'article "Nos mémoires") qui dessinera la chronologie des évènements intérieurs et extérieurs de l'ensemble de notre existence , l'état de notre configuration intérieure attirant à nous des situations extérieures de même nature.

Tant que nous ne souffrons pas, c'est que que l'ensemble de ces mémoires coexistent dans un système qui nous satisfait et dans lequel nous nous reconnaissons.

Lorsque nous nous mettons  à souffrir, psychologiquement ou physiquement, cela signifie que nous commençons à faire l'expérience d'une partie de ces mémoires pour ce qu'elles sont réellement : de la souffrance.

En d'autres termes, cela signifie que, du fait de l'augmentation naturelle de notre niveau vibratoire, une part de nous est devenue suffisamment différente du système dans lequel nous étions adaptés pour le vivre tel qu'il est et en souffrir : la difficulté, la maladie, ne sont donc pas les signes d'un problème, mais bien d'une ouverture en train de se réaliser en nous.

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